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| Sujet: J'a la flemme de trouver un titre Ven 5 Sep 2014 - 23:41 | |
| Fiche pour speed dating (Identification) ○ Pseudo: Alysya. ○ Age : 231 mois. ○ Sexe: Subjectivité de type mâle. ○ Orientation sexuelle :Bis/Ambi/(Violeur de fleurs...) ○ Groupe : Obviously Belphégor. ○ Joue depuis : Nouvel arrivant. ○Phobie :Phobie de mourir dans son sommeil. ○Pouvoir : Souffle de Morphée:
Pouvoir permettant à son utilisateur d'endormir une ou un groupe de personnes grâce à son souffle.
Flower Charm
Pouvoir permettant à son utilisateur de développer ses charme, en dégageant une douce odeur de fleur envoûtante. Utilisable uniquement sur une personne. Grace à se pouvoir il peut mettre en soumission cette personne. Ce pouvoir n'as cependant aucun effet sur la personne aimé.
○ Métier : Roi. (Oui. C'est un métier.) ○Ce que j'aime : Les subjectivités (mâles, femelles, autres, peut m'importe, mais me prenez pas pour un débauché.) ainsi que les longues journées tranquilles. ○Ce que je n'aime pas : Dormir seul.
| Etat Mental de moi-même.
Haaaa... J'ai la flemme d'écrire quinze lignes... Mais faut que je le fasse... Parce que si je le fait pas on vas pas me vouloir en tant que roi... Donc ici je doit mettre mon état mental c'est ça? Euh... Bah présentement, mon état est fatigué. Sinon.. Généralement, je dirait que je suis d'un genre calme. Mais pas passif. S'il le faut, je peut prendre les choses en mains, particulièrement dans le cas des relations intersubjectives. Autrement dit avec les autres personnes. Je peut me montrer charmeur, attentionné, doux, romantique... Ou selon les affinités sadique, maso, colérique, violent... Mais la deuxième liste est plus fatigante. Donc je préférerait l'éviter. Ah, aussi je préfère quand on m'en demande peut, que ce soit dans les actes ou dans les réflexions. Je ne dit pas que je ne réfléchis pas, mais à force c'est fatiguant. Et comme dit ci-dessus, s'il le faut je peut me montrer entreprenant. Sinon... Que dire. J'aime lire, beaucoup. C'est un bon passe-temps. Et je préfère les subjectivités intellectuelles. c'est à peu près tout ce que je puis dire sur mon caractère. Ah oui, je ne cherche pas spécialement de relation sur une longue durée. J'ai une malheureuse tendance à être volage. Je m'en excuse.
Mon magnifique physique De beaux cheveux d'un noir plus profond que la plus sombre des nuits descendent sur mes épaules de bonne stature. Ma peau au teint basané, imprégné d’obscurités est recouverte d'éclats d'or, bijoux étoilés, faisant de ma peau quelque chose de désirable, douce et chaude, mélange de sel et d'amour. Mon corps, amant de la lune, s'étire vers elle, tentant désespérément d'atteindre sa bien aimée. Seulement, la Terre jalouse me maintien à ses cotés, ne me permettant de m'éloigner d'elle que de cent quatre vingts centimètres. Malgré ma paresse excessive, la musculature de mon être s'est développée de façon à être agréable à la vue. Autrement dit, je possède des abdominaux apparents, des pectoraux correctement développés, et des biceps forts et solides, sans l'être excessivement. Le corps décris ci-contre est souvent drapé d'un tissus souple et léger, teint d'une agréable couleur verte absynthe. Pour ce qu'il en est des pieds, rien à dire. Car rien ne vaut le plaisir que procure la sensation directe du sol sous ses pas.
C'est l'histoiiiire de ma viiiiiie~
L'histoire de ma vie... Ca aussi c'est long et chiant... Je suis né un beau matin de printemps pluvieux. Il n'y avait pas eu de soleil depuis une semaine. Il faisait froid. Oubliez le qualificatif de "beau" en fait. Le jour où je suis né était un jour merdique. Mais, je me fout un peu du jour de ma naissance. Vous aussi surement. Je pense que mon histoire peut commencer ici. J'avait 7 ans. Plus ou moins. (87 mois et trois jours pour être exact). Ce jour là, je suis entré dans la chambre de mon père. Habituellement, il était toujours là pour me préparer mon déjeuner. Et ce matin, commença ma solitude. Mon père, allongé dans son lit, semblait dormir. Tremblantes, - mon père était souvent de mauvaise humeur le matin - mes frêles mains agrippèrent l'épaule paternelle et la secouèrent. Rien. Pas même un grognement. S'animant de la force du désespoir, mes mains secouèrent de plus en plus fort le corps rigide. Plusieurs minutes s'écoulèrent. Rien ne se passa. Seuls régnaient le bruissement des draps secoués. L'enfant que j'était ne pleurait pas. Ne criais pas. Il continuait seulement de secouer cette épaule, celle qui donnait une carrure de force infinie à ce grand homme. Cet homme qui pour moi était le symbole de la perfection. Il était mort dans son sommeil. Sans prévenir. Sans bruit. Sans rien. Je n'avait rien. Plus rien. Rien que cette masure, soudainement lugubre et étouffante. On m'emmena dans une autre masure. Tout aussi étouffante.
Orphelinat.
Là, a commencé un enfer. D'une part, les autres gosses m'avaient pris comme bouc émissaire. Du fait de ma différence. D'autre part, j'avait perdu le sommeil. Car dès que la fatigue me prenait, une peur grandissait. Traduite par une image. Celle de mon père, immobile. La mort me terrifiait. Pourtant, je devait bien dormir. Dormir est un acte vital, un besoin, quelque chose dont on ne peut se passer. Ainsi donc, je finissait toujours par tomber de fatigue. Mais dès que ma conscience laissait le pas à mon subconscient, s'insinuaient en moi des cauchemars des plus affreux. D'ailleurs, si ça ne vous dérange pas, je ne les décrirait pas. C'est un peu trop lugubre. Même ici, oui. Passons. Pour palier à ce stress, les "nourrisses" commencèrent par me prescrire des somnifères qui me plongeaient directement dans un sommeil profond, évitant ainsi la phase de rêve. Cela ne changea pas grand chose. Ma phobie, bien installée, ne prenait pas origine dans le monde onirique.
Par la suite, j'ai atteint mes quinze années. Ce jour là, j'ai quitté l'orphelinat et ai commencé une vie indépendante. Mais j'eu vite fait de remarquer que dormir seul me procurait encore plus d'angoisse. S'en était devenue une perte totale de sommeil. La prise de somnifère n'avait plus d'effet. J'ai donc commencé à chercher quelque chose de plus puissant. Et comme on peut s'y attendre, à quinze ans, j'ai naturellement cherché du côté des produits dont on ne doit pas prononcer le nom. L'opium m'as apporté le plus grand résultat. J'ai ainsi durant un an pu connaitre des nuits tranquilles, sans trop de soucis. Enfin, sans de soucis autres que la drogue, c'est mal. La veille de mes seize ans, j'ai rencontré Noyka. Un jeune homme aux larges épaules. Qui était de mauvaise humeur le matin. Je préfère épiloguer ce passage, si ça ne vous dérange pas. Mais grâce à lui, mes nuits devinrent plus douces, et mon mode de vie plus sain. Ainsi ai-je découvert que dormir accompagné réduisait mes craintes. Noyka m'as quitté il y'a peu de temps. Mon infidélité l'énervait. Mais j'y peut rien, le contact humain me procure un plaisir trop important pour que je ne puisse le limiter qu'à une seule personne. Si vous le demandez, oui, je m'en veut d'être ainsi. Mais on ne choisis pas son caractère. Les jours qui ont suivis notre rupture, mes craintes sont revenues. Avec de la rancune. Je faisait des crises d'angoisses dès que le soleil prenait figure rouge. Et plus j'en faisait, plus la peur d'en faire devenait forte. C'était un cycle infernal dont je pensait ne jamais sortir. J'ai commencé à me débaucher. J'allais dans les bars, abordait hommes et femmes, de quoi ne pas passer la nuit seul. J'avait au moins l'avantage d'avoir un physique charmeur. Bon j'veux pas trop étaler ma vie à des inconnus aussi, donc on passe tussuite à la suite. (en gros, je suis devenu un insomniaque complet) Et là on passe à ma renaissance, donc j'vais m'arrêter là parce que che souis machiavélique arh arh arh.
La renaissance de moi-même
Un jour, j'en ai eu assez. J'ai voulu arrêter. Diverses façons d'en finir passaient dans mon esprit. Corde, couteau, médicaments, voiture, immeuble, white spirit, je n'arrivait pas vraiment à me décider. Au final j'avait opté pour les somnifères. Histoire d'avoir une fin ironique. Ainsi donc, ma boite fraîchement achetée à la main, une bouteille d'eau dans l'autre, j'était paralysé par la phobie oppressante de m'endormir. Après 20 minutes de contemplation, j'ai renoncer. Il me faudrait plus de courage. Je descend dans la rue. il fait nuit. Après quelques pas hésitants, j'entre dans un bar. Très vite, je me fait accosté par un jeune homme. Il semble être quelqu'un "de la haute", vu sa tenue vestimentaire... -Salut. -'Lut. -Ca te dit de discuter un peu? Sa main se rapproche de la mienne. -...Que dirais-tu d'aller chez moi plutôt? On sera mieux. Son visage s'éclaire. -Je te suis. Et il me suis. Dès que nous passons le pas de la porte, le bal commence. Précis, les boutons se défont. Les mains s’emmêlent. Les lèvres s'accrochent. Un enchaînement de mouvements endiablés, et nous voilà dans la scène principale. Les souffles s'éventent, les peaux se collent. se caressent. Puis elles se séparent, à bout de souffle. Je pense qu'il s'est endormis. Comme la plupart le font ensuite. Mes yeux contemplent le plafond qui s'étant tel les cieux éternels au dessus de ma tête. Je survis un jour de plus. Mais cela fait bien longtemps que je ne vis plus. -T'aurais pas dû baisser ta garde... La voix me fait sursauté, puis une vive douleur dans la poitrine m'arrache un cri. Mes yeux se penchent vers la source de la douleur, d'où dépasse le manche d'un poignard, planté droit dans le cœur. Les yeux de l'homme brillent, penchés au-dessus de moi. -On t'as jamais dit de pas parler aux inconnus? Je m'affole. Du sang glougloute au fond de ma gorge. Mon cœur ne bat plus. J'ai peur. J'ai peur. Au secours. Non, je ne veux pas mourir! Pourquoi? Pourquoi moi? Qu'ai-je fait? Je voulais juste vivre! Pourquoi m'arrache-t-on ça? Non, Je refuse! Je me débat, avec mes ultimes forces, décuplées par la peur. D'un puissant coup de rein j'envois l'inconnu avec violence contre le mur. Il lâche un râle. J'ai peur. Tremblant j'arrache le couteau, encore fiché dans ma poitrine. Je vais mourir. Je chancelle sur mes jambes en me rapprochant de l'homme. Il essaye de se relever en grimaçant. Vite. Je doit faire vite. Je ne veux pas mourir. La lame glisse sur la peau tendre et élastique de la gorge de l'inconnu. Je tremble. Pourquoi moi? Il est mort. Je vis. Je baisse les yeux sur le trou béant de ma poitrine. Au final, ce n'est pas le sommeil qui m'aura tué. Je me suis trompé d'ennemi.
Le cadavre émet soudainement un bruit. Il.. Brille? -"FELICITATION! VOUS POUVEZ DESORMAIS ENTRER DANS LE MONDE DE SECOND LIFE." Le corps trésaute, et le sang qui s'écoulait de sa gorge s'élève en une chose compact. Une feuille. Un contrat. -...Second life?
Qui que c'est en fait qui dirige.
| (idem là) ♂ Pseudo IRL :Yoshimi~ ♂ Comment que j'vous ai trouvé? : Bah on m'as dit "je crée un forum de rp yaoi!" et j'ai dit "arh, che feux fenir!" puis vouala. ♂ Comment que j'trouve le forum?: il est beau. Très.
(je suis payée pour dire çaaaaa )
♂ Rang désiré : Che veux être roi. S'il te plait. Ô grand Nobody. (merci d'avanceuh~) ♂ Code : Code bon-Validé par Nihilim
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Dernière édition par Alysya le Dim 28 Sep 2014 - 21:07, édité 7 fois |
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Fei Weitan
Shadow Heartless Messages : 81 Date d'inscription : 15/08/2014 Localisation : Dans un trou paumé... ID Second LifeIdentifiant: RED ShadowAge: 25 ansPouvoir: Pain / Blade of Shadow
| Sujet: Re: J'a la flemme de trouver un titre Sam 6 Sep 2014 - 0:07 | |
| Bienvenu petit roi!
J'aime déjà ton petit caractère uh uh uh! |
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Invité
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| Sujet: Re: J'a la flemme de trouver un titre Dim 7 Sep 2014 - 17:12 | |
| Merci bien. Mon lit reste à votre disposition si vous souhaitez connaitre plus encore mon "petit caractère". (j'vais parfois rp même dans mes réponses, à vous de nous discerner :3 ) |
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Karamiel
Sweety Boy Messages : 23 Date d'inscription : 03/08/2014 Localisation : Candy Land ID Second LifeIdentifiant: Candy HoneyAge: 23 ansPouvoir: Télépathie
| Sujet: Re: J'a la flemme de trouver un titre Lun 8 Sep 2014 - 15:06 | |
| Bienvenue *^*
On a un nouveau roi youpiiii Amuse toi bien ici ;3
Dernière édition par Karamiel le Lun 3 Nov 2014 - 23:41, édité 1 fois |
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Isay V. Oulanov
Ex Moine Rebelle Messages : 53 Date d'inscription : 20/08/2014 Localisation : Quelques part... ID Second LifeIdentifiant: SilaAge: 27 ansPouvoir: Devil Sound / Switch Sound
| Sujet: Re: J'a la flemme de trouver un titre Mer 10 Sep 2014 - 21:01 | |
| Bienvenue.
Ah La Flemme notre éternel ami. |
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Lissandro Sylvio
Destroy me...Or Save me... Messages : 118 Date d'inscription : 02/08/2014 Localisation : Devant son piano ID Second LifeIdentifiant: HarmonyAge: 28 ansPouvoir: Range of Damocles
| Sujet: Re: J'a la flemme de trouver un titre Lun 15 Sep 2014 - 17:09 | |
| Ehe ! Bienvenue iciii
Pour tout dire, ta présentation m'a bien amusé ! J'aime beaucoup ** |
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Nihilim
Maitre du Néant Messages : 117 Date d'inscription : 01/08/2014 Localisation : Dans mon Atelier ID Second LifeIdentifiant: NihilimAge: 21 ansPouvoir: Abyss Mnémonique/Acupuncture spirituel
| Sujet: Re: J'a la flemme de trouver un titre Dim 28 Sep 2014 - 22:24 | |
| Hey tu en as mis du temps dis donc X)
Et c'est quoi ce "on me paie pour dire ça"? Nah mais oh! attention à tes fesses, tu peut très bien te retrouver avec un nouvel avatar très très laid X)
Félicitation, nous te validons tu peux désormais commencer ton aventure dans Second Life, va Rp a ta guise, je t'ai mis ta couleur, nous te donnerons tes pouvoirs le plus tôt possible. Amuse toi bien~ |
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Sanael
Petite Fleur Vénéneuse Messages : 67 Date d'inscription : 05/09/2014 ID Second LifeIdentifiant: FreesiaAge: 20 ansPouvoir: Human Flower / Flower of Devil
| Sujet: Re: J'a la flemme de trouver un titre Dim 28 Sep 2014 - 23:16 | |
| Félicitation pour ta validation \o/ |
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